Première vraie nuit blanche. Il y a du monde mais ça reste sympa. On peut faire la nuit de deux façons :
> se balader au gré de ses envies et se laisser imprégner par les oeuvres,
> ou alors se la jouer bobo. À la sortie de chaque installation, on explique à qui veut l'entendre que c'est la quintescence de l'art. On est touché par ce cri du coeur poussé par l'artiste et on admire son courage pour dénoncer les injustices dans le monde. C'est très étrange d'entendre ça à la sortie du théâtre du Châtelet, où on pouvait voir un défilement de couleurs sur l'écran, sur une bande son restituant les respirations de l'artiste.
Et je ne parle pas des chamanismes originels à 3h du mat' : toute une salle qui lutte contre le sommeil en écoutant des chants traditionnels mongoles.
Saturday, October 07, 2006
Blanche
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